1. |
La marelle
02:33
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Pu grand chose marche comme il faut, besoin d'autres morceaux
Ce que je ressens dans le bas du dos, c'est des coups de marteau
Quand je me couche le soir, je prends le temps de regarder le miroir
Les matins sont durs
Se lever c’est une torture
Sous cette belle armure
De la tête aux pieds des égratignures
C'est tout en train de briser
Sans se réparer
Chaque morceau cherche à se décomposer
Les hanches craquent et on m’attaque à grands coups de matraque
V'là mon cœur qui se détraque et me rend insomniaque
Quand je me couche le soir, je prends le temps de regarder dans le miroir pour une source d'espoir
Je sors du lit chaque jour et plus vieux
Plonger du haut du ciel, sans aile
Jouer à la marelle, c'est irréel
Finir la journée sans s'épuiser
Espérer que mon corps sera fort
Mes pieds me feront traverser le corridor
Y a pas de magie
On y passe aussi
Condamné sans autre forme de procès
Aucune autre sortie
On rejoint les débris
Lentement on oublie qu'on existait
J'ai les deux genoux qui se détachent, je voudrais qu'on me les arrache
Je cligne des yeux, je vois des taches, ma vision se cache
Quand je me couche le soir, je prends le temps de regarder dans le miroir pour une source d'espoir
Je sors du lit chaque jour et plus vieux
Plonger du haut du ciel, sans aile
Jouer à la marelle, c'est irréel
Finir la journée sans s'épuiser
Espérer que mon corps sera fort
Mes pieds me feront traverser le corridor
Je suis pas prêt à me laisser vieillir
Pas prêt à devenir un souvenir
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2. |
Ordinaire
02:39
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Que'que part loin des problèmes
Que'que part loin des problèmes
On cherche à se sortir de l'eau
C'est pas la fin de semaine
C’est pas la fin de semaine
Qu’on veut jouer au héros
Pas le temps
Pour toi
Je serai pas ton grand sauveur
Vivant
Sans toi
Je ressens même pas la douleur
C'est pas un nouveau départ
Le début de la fin du cauchemar
C'est pas un nouveau départ
Les barrières au sol de ton bord
On marche sur les morts
On marche sur les morts
Que'que part loin des secrets
Que’que part loin des secrets
On veut trouver la vérité
Une montagne de déchets
Une montagne de déchets
Impose sa réalité
J'entends
Ta voix
Mais je vois plus tes couleurs
Je sens
La proie
Maintenant que je te connais par cœur
C'est pas un nouveau départ
Le début de la fin du cauchemar
C'est pas un nouveau départ
Les barrières au sol de ton bord
On marche sur les morts
On marche sur les morts
C'est pas un nouveau départ
Le début de la fin du cauchemar
C'est pas un nouveau départ
Les barrières au sol de ton bord
On marche sur les morts
On marche sur les morts
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3. |
Doritos & IPA
02:32
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On s'était fait croire
Qu'on allait se revoir
Qu'on reprendrait un verre, se rappeler des vieilles affaires
Jusqu'à tard le soir
Se raconter nos plus folles histoires
On s'était fait croire
Qu'on allait se rassoir
Repasser les souvenirs où on se sacrait bien de l'avenir
Boire jusqu'au matin
Sans voir se pointer le lendemain
On s'ouvre chacun des portes
Sans même les emprunter
Se pointent les imprévus
Et on se reperd de vue
On se réconforte
Seul de notre côté
On s'incline encore une fois devant le confort de notre routine
On se rendort, épuisé du temps qui file et se décolore
On s'était fait croire
Qu'on marquerait l'histoire
Qu'on suivrait pas le troupeau qui fonce droit dans le panneau
On avait l'espoir
D'être plus brillants que les autres
On s'ouvre chacun des portes
Sans même les emprunter
Se pointent les imprévus
Et on se reperd de vue
On se réconforte
Seul de notre côté
On s'incline encore une fois devant le confort de notre routine
On se rendort, épuisé du temps qui file et se décolore
Et on regarde, impuissant, le temps qui file et se décolore
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4. |
Chilliwack
03:26
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Peu importe où je mets les yeux
Tout ce que je vois c'est eux
Pas moyen de me sauver
Aucune sortie
Peu importe où j'allume le feu
Je me retrouve au milieu
Pas moyen de me sauver
Je veux bien courir
Mais j’avance pas
Je veux bien m'enfuir
Mais j’avance pas
Mais y a juste la nuit tout autour
Je veux bien courir
Mais j’avance pas
Je veux bien m'enfuir
Mais j’avance pas
Mais soudainement je suis trop lourd
Je sais pas où je vais
Ni qui va m'accompagner
Je suis muet
Qui pourra m'entendre crier
Peu importe où je mets les yeux
Je trouve pas de volontaire
Je suis pris dans cette guerre imaginaire
Pendant que le monde se décompose
Je garde les paupières closes
Les forces sont inégales
Peu importe où je mets les yeux
Tout ce que je vois c'est eux
Pas moyen de me sauver
Aucune sortie
Peu importe où j'allume le feu
Je me retrouve au milieu
Pas moyen de me sauver
Je veux bien courir
Mais j’avance pas
Je veux bien m'enfuir
Mais j’avance pas
Mais y a juste la nuit tout autour
Je veux bien courir
Mais j’avance pas
Je veux bien m'enfuir
Mais j’avance pas
Mais soudainement je suis trop lourd
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5. |
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T'étais perçue comme une bonne nouvelle
Fin d'un temps noir rempli de misères
T’arrives en montrant ta lumière
Pour nous accueillir dans ta chapelle
Le feu éteint, mais je sens ta main, je vois qu'elle me retient
Les têtes se sont mises à sortir de l'eau
Grandes bouffés d'air près du vaisseau
Des voix qui rient dans un écho
Agitent le drapeau
Trop longtemps on a tourné en rond
Pris entre ces quatre murs
Cherché la sortie de notre salon
En se détruisant à coups de petits instants
On s’est perdu quelque part au milieu
Pris entre ces quatre murs
On se tenait là trop malheureux
En se détruisant à coups de petits instants
Pourquoi ça tombe sur moi
Pourquoi ça tombe sur moi encore?
On voyait déjà le décor
Pourquoi ça tombe sur moi
Pourquoi ça tombe sur moi encore?
On voyait déjà le décor
Tu brûles les murs morceau par morceau
Tu t'es pointée sans poser de questions
Forte et fière sans vivre de pression
Sans rien qui t’empêche de monter plus haut
C'est pas la fin, je sens ta main, qui m'amène à demain
Les deux pieds solides ancrés en terre
On se relève d'une chute interminable
On pointait le doigt sur des coupables
Y a pu d'adversaires
Trop longtemps on a tourné en rond
Pris entre ces quatre murs
Cherché la sortie de notre salon
En se détruisant à coups de petits instants
On s’est perdu quelque part au milieu
Pris entre ces quatre murs
On se tenait là trop malheureux
En se détruisant à coups de petits instants
Pourquoi ça tombe sur moi
Pourquoi ça tombe sur moi encore?
On voyait déjà le décor
Pourquoi ça tombe sur moi
Pourquoi ça tombe sur moi encore?
On voyait déjà le décor
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